Boutargue : une vraie tendance culinaire
S’il y a une chose que tout le monde aime, c’est manger. Ceci n’exclut personne. Il y a ceux qui aiment réaliser des voyages culinaires pour explorer les différentes cuisines du monde. Aujourd’hui, la tendance se tourne vers la poutargue, aussi connue sous le nom de la poutargue. Ressemblant quelque peu à un morceau de saumon fumé, ou de la truite séchée, celle-ci est orange et allongée. La connaître et ses origines est déjà un chemin pour être capté par sa saveur.
Qu’est-ce que la poutargue ?
Pour les fans des produits de la mer, la boutargue en est un. N’étant pas un poisson ni un crustacé, c’est une poche d’œufs de mulet ou plus rarement de thon rouge. Elle dispose une texture proche du caviar. La poutargue est prélevée une fois que la femelle mulet est pleine. La poche est de ce fait salée et séchée. Néanmoins, ce procédé varie en fonction du pays qui le fabrique. Il existe alors certaines conditions que chaque fournisseur utilise. En France, les poches sont protégées avec de cire. Dans certains pays, on laisse simplement la poutargue séchée au soleil après salaison.
Préparer une poutargue faite maison
Il est à connaître que préparer une boutargue ou poutargue de façon régulière revient chère. En effet, le kilo peut aller jusqu’à 120 euros. Il s’agit ainsi d’un art culinaire qu’il faut préparer à l’occasion et avec les bons accompagnements. Une poutargue faite maison se prépare le plus souvent deux semaines à l’avance avec son temps de séchage. Une fois avoir choisi une femelle mulet pleine chez le poissonnier, il est temps de le préparer. À l’aide d’un couteau, il faut réaliser une ouverture ventrale pour récupérer la poche remplie d’œufs. Il faut alors la retirer avec précaution afin de ne pas l’abîmer. Il faut ensuite déposer la poche sur un lit de sel et la recouvrir de sel fin. Après l’avoir reposé deux heures, il faut la rincer abondamment et le faire sécher avec un linge propre. Ce temps de pose permet de faire adhérer le sel à l’intérieur. Il faut tout après le mettre dans un endroit frais et sec sur une planche à bois. Une fois que la poutargue devient ferme, elle peut être mangée.
Choisir la qualité et apprendre à manger ce mets
Manger une boutargue peut être réticent pour les non-connaisseurs. Pour une première dégustation, il est préférable de la manger en lamelles finement taillée et assaisonnée d’huile d’olive. La poutargue peut également être l’accompagnement d’un boulet de Burrata. Râper sur un risotto ou un plat de pasta, la poutargue se fait ainsi manger à l’Italienne. Avec de fines tranches de ce mets déposées sur des toasts tièdes avec un peu de beurre intégrées dans des œufs brouillés, elle sera la préférence de ce qu’il aime. Au Japon, elle se déguste avec du saké. Quelle que soit la méthode de dégustation retenue, la poutargue peut devenir l’ami des aventuriers culinaires. Pour la procurer sous conditionnement, il est préférable de choisir un conditionnement sous vide.